Quand un croissant est déjà un luxe

Une mère touchée par la pauvreté écrit : "Toujours étudier les promotions, calculer et faire les courses avec un bout de papier. Nous avons besoin d'une action lait chaque jour, souvent le budget hebdomadaire est déjà épuisé. Pour que je puisse encore acheter par exemple la viande hachée en promotion et d'autres promotions, il faut alors mettre de côté les factures de thérapie/de médecin. J'essaie malgré tout de donner chaque jour à mes enfants une nourriture saine et adaptée à leur croissance".

En Suisse aussi, un croissant peut être un luxe. Nous envoyons ces jours-ci notre appel aux dons pour notre aide alimentaire, qui nous permet de soulager les budgets serrés des ménages. Vous en saurez plus en lisant notre bulletin et notre newsletter.

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